La fille de papier - Guillaume Musso
Quatrième de couverture :
« Trempée jusqu’aux os et totalement nue, elle est apparue sur ma terrasse au beau milieu d’une nuit d’orage.
— D’où sortez-vous ?
— Je suis tombée.
— Tombée d’où ?
— Tombée de votre livre. Tombée de votre histoire, quoi ! »
Tom Boyd, un écrivain célèbre en panne d¹inspiration, voit surgir dans sa
vie l’héroïne de ses romans.
Elle est jolie, elle est désespérée, elle va mourir s’il s’arrête d’écrire.
Impossible ? Et pourtant…
Ensemble, Tom et Billie vont vivre une aventure extraordinaire où la réalité et la fiction s’entremêlent et se bousculent dans un jeu séduisant et mortel...
Une comédie vive et piquante
Un suspense romantique et fantastique
Quand la vie ne tient plus qu’à un livre !
Mon avis :
Je n’avais encore jamais lu de romans de Guillaume Musso, certainement de peur qu’il fasse partie de cette branche d’auteur dont les œuvres sont formatées pour devenir des best-sellers et qui affichent, à leur sortie en librairie, un bandeau rouge avec écrit dessus en grosses lettres « Déjà vendu à 3 millions d’exemplaires » ; mention qui ne m’a jamais convaincue.
C’est donc sans m’attendre à de la grande littérature que j’ouvre ce livre, juste pour me détendre et parce que le ton me plaisait, original, léger et avec un soupçon de fantastique. Et dés le début, j’ai plutôt bien accroché. L’écriture est simple et fluide comme on l’attendrait dans ce genre de romans mais n’en est pas pour le moins prenante. Les personnages sont attachants même si l’auteur ne fait pas preuve d’une psychologie folle et les dialogues un peu simplistes entre notamment Billie et Tom nous font tout de même esquisser quelques sourires bien agréables au cours de notre lecture. Les pages défilent vite malgré les petites longueurs présentes dans la seconde moitié du livre mais qui ne m’ont pas gênées tant que ça et si je n’ai pas tellement vu le suspense décrit dans la quatrième de couverture j’ai suivi avec plaisir le périple de cet écrivain.
Donc une lecture agréable pour se détendre dans un moment un peu creux qui nous entraîne dans les mécanismes de l’écriture.